Jalouse 
Ah en voila un joli défaut. Mais elle est très jalouse. Aussi bien en amour.. qu'en amitié. Qu'une personne inconnue s'approche d'un ami et qu'elle arrive lui faire changer d'avis ou même le faire plus rire qu'elle.. elle va vite faire une crise de jalousie. Et s'énerver. Pour elle c'est normal.. ça va avec la peur d'être oublier. Parce que son ami va avec X et ne lui adresse plus la parole .. il l'aura oublier.. Compliquer comme raisonnement enfin pas tant que ça. 

Possessive 
Elle veut garder ces amis et copains pour elle. Si elle pouvait elle ne les partagerait pas. La encore elle s'énerve rapidement. Et elle peut aussi faire des crises. Ça va avec la jalousie finalement.

Impulsive 
Elle s'emporte très vite. Un mot de travers et elle va se vexer pour un oui ou pour un non. Ou s'énerver dans le sens physiquement.. Elle est assez bagarreuse faut faire gaffe. Un mot de travers et elle part en cacahuète la petite. Ou un geste.. d'ailleurs.

Bornée 
Will a toujours été bornée. Depuis toute petite. Elle est la seule de sa famille à ne pas obéir et à faire des bêtises. C'est la petit rebelle de la famille. Lorsqu'elle a une idée derrière la tête elle ne l'a pas ailleurs. Il faut qu'elle la fasse. Même si c'est à ses risques et périls. Elle ne supporte pas tellement l'autorité d'ailleurs. Elle préfères toujours avoir raison et qu'on ne la contredise pas. Elle a un sale caractère elle le sait. 

Caractérielle 
Ou Existentielle.. Il aime être discrète niveau pouvoir mais lorsqu'elle est en présence de personne comme elle elle aime être remarqué. Elle ne supporte pas l'ignorance. Elle fait des crise parfois rien que pour ça. Au fond c'est une simple peur de l'oublie. Comme elle a été zappé par sa famille elle ne veut pas que cela se produise dans son niveau. Elle veut qu'on le remarque pour ce qu'elle est. Mais parfois elle pousse le bouchon un peu trop loin. 

Manipulatrice 
Quelle femme digne de ce nom ne manipule pas un minimum. Elle l'a toujours fait. Elle mentait à ses parents c'est sûre mais elle les manipulait pas. De toutes façon à chaque fois qu'elle mentait sa mère la chopait et elle finissait puni dans sa chambre alors. Mais maintenant c'est presque devenu un art chez elle. Elle embobine qui elle désire quand elle veut. 

Attentionnée
Son coté positif. Elle est très à l'écoute des gens. Elle a toujours su faire et ça plus plait même si elle ne le montre pas. Mais si elle voit que quelque à besoin de parler elle va forcément être attirer par cette personne. Juste pour qu'il ou elle se confie. Sachant qu'elle garde tout pour elle. Et qu'elle n'a jamais trahis personne. 


Sensible 
Partie d'elle qu'elle n'aime pas. Et qu'elle ne montre pas. Sous des airs de jeune fille prétentieuse et sûre d'elle il lui arrive de pleurer. Elle retient trop souvent ces larmes. Et elle préférait être forte comme elle devait l'être. Mais elle n'y arrive pas. Des fois c'est trop dur. Et puis elle a toujours été comme ça. On ne peut pas changer ça nature.

La douleur


J'entendais des pleures. Dehors il faisait nuit. Et j'aurais dû être couché depuis longtemps. J'avais cour le lendemain. Mais les sanglots m'avaient réveillé. Je me levais. Quittant mon lit, nue pieds, je me dirigeais inquiète vers la couloir de l'étage. Là où se trouver ma chambre. J'entre-ouvris la porte. Je regardais dans la petite ouverture. Ma mère pleurait. Je déglutis. Des larmes coulèrent sur mes joues. Encore une fois mon beau père l'avait frappé. Je voyais sa lèvre en sang. Il avait trop bu. Je l'avais toujours détesté. Il n'avait jamais été bon. Et je ne comprenais pas ce que ma mère faisait avec lui. J'avais seulement 12 ans mais je comprenais que lui mort serait largement mieux pour notre bonheur à ma mère et moi.

Mon enfance avait toujours rimé avec violence et drogue. Ma mère étant une ancienne toxico, elle n'a jamais connu mon père biologique, ou disons qu'elle ne se souvient plus de son prénom. Je n'ai pas été le fruit d'un amour parfait comme vous pouvez le constater. Elle s'était dis qu'elle arrêterait les conneries lorsque j'arriverais au monde. Malheureusement elle a rencontré mon beau père. Trafiquant de drogue bien sur. Et alors que j'avais trois ans presque quatre elle a replongé. J'ai longtemps ignoré tout ce qui se passait. Mais plus je grandissais, plus je comprenais que ma vie n'était pas normale. De plus je voyais mon beau mère frappait ma mère alors qu'il était ivre et surement ou l'effet de stupéfiants.

Je courrais donc vers ma mère. Elle me prit dans ses bras. Je n'ai jamais douté de son amour. Elle en avait à revendre pour moi. Elle m'aimait plus qu'elle même. Mais son problème venait de la drogue. Pour en avoir elle restait avec un homme horrible. Qu'elle aimait soit disant. J'avoue ne jamais y avoir crus. Elle me serrait contre elle. Fort, fort, fort. Je me dégageais non méchamment Je passais ma main sur sa lèvre. Elle était gonflée et ensanglantée. Je pleurais. La voir dans un état pareil c'était affreux. Je l'aimais trop pour la voir autant souffrir.

- Maman, je veux qu'on parte pleurais-je
- On ne peut pas ma chérie. Je suis navrée.

Je soupirais. J'avais entendu cette phrase une centaine de fois. Je me doutais d'ailleurs qu'elle me répondrait de cette manière. Je descendis. Elle resta en haut assise dans le couloir sur la vielle moquette bleu lavande délavée. Je pris une serviette et des glaçons. Je remontais en ignorant totalement Mike, mon beau père dans la cuisine une bière à la main. Je plaçais sur la bouche de ma mère. Je lui caressais la joue doucement pour la consoler. J'avais rapidement séché mes larmes en descendant pour ne pas que l'autre con les voient. Je ne supportais pas qu'une personne autre que ma mère voit que j'étais capable de pleurer. Je vivais dans un monde dur. Et je fréquentais pas vraiment les filles avec leurs petites jupes plissaient. Fréquentant presque que des garçons et pas les meilleurs. Mon enfance n'est pas rose bonbon. C'est sur que je ne suis pas la seule à vivre une histoire difficile. Mais je ne m'en plains pas. Je crois ne m'être jamais plains de ma situation. Et jamais je ne le ferais. Trop de fierté dans ce petit corps pour cela.


La Mort


Encore une fois il fait nuit. Et c'est à ce moment que j'entendais de ma mère un bruit de fracas. J'ai à ce moment là 17 ans. Il est presque minuit. Je ferme mon ordinateur portable. Je me précipite au rez de chaussée. Je suppose qu'il s'agit encore d'une engueulade entre mon beau père et ma mère. Mais plus je grandis plus je prend sa défense. Je voulais le virer celui là. Je le haïssais. Un jour je lui ferais la peau pour avoir fait souffrir ma mère de cette façon. Et je ferais cela bien. Et légalement. Je rentrerais dans la police. Et le premier que j'arrêterais ce sera lui. Pour trafique de drogue, et surtout pour violence conjugale. Il allait voir comment était traité les mecs dans son genre en prison. C'est loin d'être du 4 étoiles. En tout cas arrivée en bas, je vois le corps de ma mère allongé par terre. Elle a du sang sur le front. Je cris.

-MAMAN !

Je me précipite sur son corps. Je regarde autour de moi. Je constate que le coin du plan de travail est immaculé de sang. Elle c'est frappée la tête, mais je suis sûre que c'est loin d'être un accident. Elle a soit été aidé, soit elle c'était une chute poussée accidentelle. Je lui pris sa fréquence cardiaque. Elle ne respirait plus.

- MAMAN !! Respire !

Je regardais mes mains pleines de sang. Bon sang elle ne pouvait pas mourir. Et elle ne pouvait pas me quitter maintenant. Et moi je faisais comment sans elle? Sans être majeure, il devenait mon tuteur ? Il en était hors de question. Je tentais un massage cardiaque. Je passais mes mains sur sa poitrine et j'essayais de la réanimer. Voyant qu'elle m'avait quitté je cessais tous mouvements. Je passais ma main sur son front comme pour la consoler. Comme elle me le faisait lorsque j'étais triste ou malade. Ma mère était morte. Elle ne revint pas d'entre les morts.. J'appelais une ambulance. Mais je savais qu'il était trop tard, mon dieu elle m'avait quitté.

Après son enterrement, je recherchais la mère de ma mère. Ma grand mère en fait. A ma plus grande surprise elle vivait toujours à Salem et elle était toujours vivante. Je pris contact avec elle. Il était hors de question que je reste avec Mike. Et de toute façon il avait bizarrement disparu et c'était tant mieux.

Elle m'accepta les bras ouverts en pleurant. Elle ressemblait beaucoup à ma mère. En plus âgée certes, mais aussi belle. Elle termina mon éducation et m'encouragea pour l'école de police. Elle est une femme bien que d'admire.

La Police


Après avoir obtenue mon diplôme de police à l'école de Washington, j'ai trouvé un travail dans cette ville. J'ai intégré la police fédérale. Jeune certes, mais totalement prête à voir toutes sortes de choses. Dans la police j'avais un coéquipier. On c'est tout de suite entendu. Lors de notre première mission je lui ai sauvé la vie. Nous étions très proche et une excellente équipe. Ma vie à Washington était bien. Entre lui et moi nous étions à la limite du plus que l'amitié. Mais cette limite était interdite. Donc jamais franchi et aujourd'hui il est trop tard.

La Catastrophe


Nous nous trouvions dans les bâtiments de la police. C'est rapidement devenu l'apocalypse. Je n'ai pas trop compris cette violence dans cette tempête. Oui les vitres se brisaient. Les locaux, de la police ont rapidement été évacué. Je suis restée avec mon coéquipier, enfin jusqu'à ce que je me rende compte qu'il n'était plus derrière moi. Tous trembler. Il pleuvait et cela embrouillait la vue. Je l'ai cherché au risque et péril de ma vie. Mais je suis partie. J'ai quitté les bâtiments qui devenait trop dangereux. Je ne sais pas ou exactement je me suis cachée le temps de cette abominable tempête. Je pensais à un souterrain. Un parking. Mais dans la pénombre de tous ça, j'ai attendu que cela passe. Mais pas sans risque. Je ne suis pas restée des heures et des heures. Je ne sais pas combien de temps. Pendant tout ce temps je pensais à la survie possible de mon coéquipier, Cameron, et aussi à ma seule famille ma grand mère. Parce que je ne voulais pas qu'il leur arrive quoique soit. Je n'avais un peu qu'eux.

Malheureusement, à la fin, de la catastrophe, on a tout fait pour retrouver Cameron, mais nous n'avons rien eu. Le choc a été dur. Perdre la seconde personne qui comptait le plus. C'était un coup vraiment difficile. Après un enterrement dans corps d'un meilleur ami, voir plus encore, je suis partie pour Salem. Je m'attendais à trouver les même dégâts. La même vision d'horreur de mort et de destruction. Mais rien. La ville était comme je l'avais laissé. C'était très surprenant. En frappant chez ma grand-mère j'avais une grosse boule d'angoisse, et que je trouve une personne qui me dise qu'elle n'était plus parmi nous. Mais elle m'ouvrit. Je lui sautais dans les bras. Rassurée. Forcément elle était aussi inquiète que moi. Et rassurée de me voir enfin. J'ai décidé de rester dans la ville pour profiter d'elle. J'ai quitté la police pour me faire engager en garde personnelle. Je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas faire un tel métier. Je suis une formidable tireur et j'ai des notions de combats imparables.

En me faisant engager par la famille Keynes, il c'est passé un truc bizarre. J'ai pus contrôler la glace. J'ai vite compris que ce pouvoir ne venait pas de moi. Mais de celui qui m'employait. Gabriel.Je n'ai jamais compruis comment cela été possible, mais ce genre de pouvoir est plutôt classe. Il me sert un peu pour des broutilles, mais aussi pour faire mon métier.C'est assez surprenant mais je suis sûre qu'un tas de personne voudrait avoir ma chance. Si on peut considérer ça comme une chance.